Les dossiers du numéro de Février étaient largement prévisibles: tout tourne autour de la St-Valentin... Trop prévisible?
Deux interviews ce mois-ci. La première, représentative des interviews habituelles du magazine: vendeuse sûrement, à l'image de la femme de tous les jours je ne pense pas. Au pays des Miss, il faut parfois faire le choix d'entretiens et de visuels moins vendeurs visuellement parlant mais avec plus de profondeur, de consistance. Attention, comprenez bien qu'il s'agit ici de l'interview et non de l'interviewée.
Fenua Orama doit savoir présenter aussi des femmes auxquelles nous pouvons nous identifier, avec des expériences et des objectifs. Un magazine pour les femmes c'est bien, mais nous ne sommes pas intéressées que par le shopping et les Miss.
Actus news:
La petite canette bleu et argent qui nous rend toutes "Olé-olé". Pour information, il est interdit d'importer de la taurine sur le Territoire, par principe de précaution selon la règlementation en matière de santé publique. Exception faite pour les boissons énergisantes... On se demande pourquoi alors que le composant est bien présent.
Nouvelle boutique Vertige: nom inspiré de l'effet prix ?
A vérifier! Autre point auquel je suis sensible: le SAV. En métropole, la qualité de service de la maroquinerie renommée garantit les sacs quasiment à vie. En cas de pépins, on les ramène, sauf si c'est le toutou qui a mangé le sac, là il faut l'enterrer. Le sac, pas le chien. Ici, on paie le prix, mais il n'y a pas le savoir-faire. Autre problème: le climat. Aérez, sinon c'est la moisissure assurée (hé... bon slogan).
Il faut absolument que je teste:
- la boutique Vertige au Vaima
- le nouveau spa de l'hôtel Tahiti Nui
- la recette de soufflé aux fruits de la passion (si j'y arrive, you can do it)
- l'article intéressant sur les algues car il n'y a aucune adresse pour en trouver. Il faudra chercher, trop frustrant.
- l'art-thérapie. Quoique... pour déstresser mon boss, je lui dirai la prochaine fois qu'il m'engueule d'aller faire des boulettes de papier wc. C'est bon pour l'épanouissement de sa fibre artistique.
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